Mai / 25

BASE finalise sa levée de fonds !

BASE a créé la technologie Cogen’Air, un panneau solaire hybride thermovoltaïque 4 fois plus performant énergétiquement qu’un panneau photovoltaïque standard.
Le panneau Cogen’Air est utilisé pour le séchage (fourrage, déchets, bois) et l’efficacité énergétique des bâtiments (appoint de chauffage et rafraîchissement). Après avoir prouvé son efficacité sur plus de 80 installations, BASE souhaite accroître son développement sur l’agriculture, les collectivités et la filière bois-énergie.
C’est pour soutenir cette activité en croissance que BASE mène une levée de fonds. Cette levée de fonds se fait auprès d’investisseurs financiers, mais l’entreprise ouvre également son capital en crowdfunding sur la plateforme éthique LITA.co 

 

BASE a déjà réuni plus d’1 million d’euros sur les 1.5 millions recherchés !

 

Une innovation environnementale aux impacts positifs multiples !

1. Renforcer l’autonomie fourragère et la performance économique des élevages laitiers
Cogen’Air permet aux agriculteurs de sécher leur fourrage à l’abri des UV du soleil et d’améliorer ses propriétés nutritives. Ils peuvent cultiver et sécher de la luzerne, plante qui remplace les tourteaux de sojas importés d’Amérique. Ils diminuent leurs compléments alimentaires et réduisent l’empreinte carbone de leur élevage.

2. Réduire les consommations des bâtiments et leur empreinte carbone
La solution Cogen’Air permet de réduire les consommations énergétiques des bâtiments tertiaires pour le chauffage et l’électricité . En  maximisant la production d’énergie renouvelable sur leur toit, Cogen’Air produisant 4 fois plus d’énergie qu’un panneau photovoltaïque , nombre de bâtiments  réduisent leurs dépenses en électricité, fuel ou gaz  ainsi que  leurs émissions de gaz à effet de serre.

3. Mettre l’innovation environnementale au service de l’économie circulaire
Grâce au procédé de séchage de matières, les solutions de BASE permettent de revaloriser des produits considérés comme des déchets. Ils sont réutilisés comme combustible (déchets verts, combustibles issus d’ordures ménagères) ou comme nourriture pour l’élevage par exemple (déchets de l’industrie agroalimentaire). En plus de participer à l’élaboration d’une économie circulaire, cela permet de diminuer le coût et  l’impact environnemental lié aux transports de déchets.

Sébastien Ackermann, fondateur et Luc Milbergue, Directeur Général
Crédit photo : LITA